Le PLR contre-attaque. Après avoir été accusé de trahison par le Parti indépendant nyonnais (PIN) et les Vert’libéraux, ses anciens alliés du centre-droit, le Parti libéral-radical a tenu mardi à préciser sa version des faits. «Nous n’avons pas violé la convention qui nous liait», assure le PLR Olivier Riesen, coprésident de la défunte plateforme.
Pour rappel, à la suite des résultats du premier tour des élections communales, l’alliance dont l’UDC était également membre a volé en éclats. Le PIN et les Vert’lib’ estiment que le PLR en est l’unique responsable. Il aurait enfreint les accords passés en début de campagne en partant en solo dans le second tour avec ses deux candidats, Roxane Faraut Linares et Maurice Gay.
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Le PLR dément et, pour le prouver, il dévoile un court extrait de la convention passée entre les quatre...