Ils se font désirer, les tests rapides de dépistage du coronavirus. Pourtant promis dès le 2 novembre par le conseiller fédéral chargé de la santé, Alain Berset, ces prélèvements qui permettent de détecter la maladie en 15 minutes seulement ne sont toujours pas disponibles sur La Côte.
A l’hôpital de Nyon, on les a pourtant déjà reçus. Ils sont stockés, en attente. «Nous en avons entre 3000 et 4000», estime Daniel Walch, directeur du Groupement hospitalier de l’Ouest lémanique, dont l’établissement fait partie. Pourquoi donc ne pas les utiliser tout de suite, alors que les filières déjà en place sont bien occupées, voire pour certaines débordées?
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Les hôpitaux et centres de dépistage attendent en fait sur le canton, car c’est bien lui, comme l’avait également annoncé Alain Berset, qui doit décider comment les tests rapides seront...