Mauvaise surprise pour Laurent Miéville, candidat vert’libéral au Conseil national: le Nyonnais a vu certaines de ses affiches être décrochées par la commune de Nyon. Pourtant, elles respectaient les consignes du canton en matière d’affichage «sauvage» politique durant les élections fédérales.
Député au Grand Conseil, il a adressé une question au Conseil d’Etat afin qu’il clarifie les règles. «Les pratiques changent d’une commune à une autre. Cette complexité décourage et aboutit à des affiches accrochées n’importe où, certains candidats et les autorités jouant au chat et à la souris. Tout cela à un coût, sans parler de l’impact sur l’environnement», explique-t-il.
Car, en pleine campagne pour les Fédérales, impossible de rouler sans croiser le regard d’un candidat. Pendant les campagnes politiques, le canton tolère la pose de pancartes sur les lampadaires hors localité, selon certaines règles à respecter (notamment en matière de sécurité routière). Mais ce sont les communes qui...