Pour le giratoire de la Gravette, les entrepreneurs devront repasser. Le revêtement de cette infrastructure routière est en effet déjà tout plissé. Le constat est clair, mais les causes le sont un peu moins. Les concepteurs savaient que ce rond-point, avec ses 25 000 à 30 000 véhicules par jour serait très sollicité. Mais cela n’a pas suffi à éviter une détérioration excessive en moins de trois ans d’utilisation.
«Nous sommes actuellement en négociation avec l’entrepreneur qui l’a réalisé pour voir comment remédier à la situation, explique Alain Delacrétaz, représentant régional de la direction générale de la mobilité et des routes (DGMR), dans la région ouest. Le phénomène reste inexpliqué car la construction répondait aux plans types imposés par l’Etat de Vaud.»
Deux secteurs particulièrement touchés
Il rappelle toutefois que ces défauts sont consécutifs à de très nombreux passages de poids lourds. La localisation des bossellements est clairement sur son...