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La chronique sexo d’Anne Devaux: les zones érogènes

Une fois par mois, notre journaliste Anne Devaux se fend d’une chronique sexo. Cette fois-ci, il est question de cartographier son corps en zones érogènes

30 oct. 2018, 11:15
Anne Devaux, notre journaliste, se fend d'une chronique sexo une fois par mois.

«Touche mes castagnettes, moi je touche tes ananas.»

Le chanteur Carlos a toujours su manier les métaphores imagées. Testicules et seins entrent dans le top des zones érogènes, néanmoins, il serait dommage de se contenter de quelques parties ciblées de notre anatomie quand tout notre corps est capable de vibrer sous les caresses et autres grignotages ou au contraire de se crisper, si ce n’est pas à notre goût.

Alors que j’écris cette chronique dans le train, je remercie le couple qui me fait face et illustre en toute innocence mon propos. Collés l’un contre l’autre, le jeune homme laisse divaguer son index dans la saignée du bras dénudé de sa dulcinée, quand soudain, celle-ci se dégage brusquement. Un froid succède à la chaleur et voilà que les deux tourtereaux se mettent à parler boulot.

Pour découvrir notre potentiel de zones érogènes, il faut tâtonner: là, c’est bon, ici cela...

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