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L’affaire Ségalat a tenu la région en haleine

Le 23 mai 2012 s’ouvrait le procès de Laurent Ségalat, acquitté en première instance et condamné en appel.

22 juin 2017, 06:30
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Le 23 mai 2012, une semaine durant, la Cour criminelle de La Côte a siégé dans la salle d’audience cantonale de l’Ordre judiciaire vaudois. Il s’agissait de faire toute la lumière sur la mort mystérieuse de Catherine Ségalat, le 9 janvier 2010, dans sa maison de Vaux-sur-Morges.

Cette municipale morgienne a en effet été retrouvée morte, ensanglantée, dans le sous-sol de sa maison. L’autopsie a révélé plusieurs plaies et ecchymoses au niveau du visage et une fracture du crâne. La gendarmerie vaudoise a inculpé son beau-fils, Laurent Ségalat, dès le début de l’enquête. C’est lui qui a découvert la victime dans des circonstances troubles. Il a toujours été le seul suspect. Au jour du procès, il avait déjà effectué 28 mois de prison préventive. Plusieurs experts de renommée européenne s’étaient succédé à la barre.

L’accusé est un généticien français réputé. Il a toujours clamé son innocence, mais n’a pas su...

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