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Comment le district de Nyon veut canaliser le trafic des pendulaires frontaliers

Une nouvelle ligne de bus, des P+R supplémentaires: ces équipements devraient inciter les frontaliers à davantage utiliser les transports publics.

18 sept. 2018, 05:00
Les frontaliers connaissent bien le giratoire de Crassier.

«Je me bats au niveau régional pour la création d’une ligne de bus transfrontalière Gex-Divonne-Nyon», lâche Roxane Faraut Linares, la municipale nyonnaise en charge de la mobilité. Car trouver des solutions pour canaliser le trafic des frontaliers ne peut que désengorger une partie de la circulation dans le centre de Nyon aux heures de pointe. Selon les statistiques fournies par la ville, 1457 frontaliers se rendent quotidiennement à leur travail à Nyon en voiture, par le train ou encore par le bateau.

Le syndic de Crassier, Serge Melly, dont le village est en première ligne sur l’axe avec le département de l’Ain, partage l’avis de la Nyonnaise. Une ligne de bus permettrait de soulager la circulation aux abords de sa commune. «Le problème, c’est le financement», souligne-t-il.

Des dossiers déjà compliqués qui le deviennent encore plus dès que les enjeux sont transfrontaliers. Toujours est-il que dans l’attente de la construction...

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