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Paroles de pendulaires [3/3]: en voiture à Genève, coûte que coûte

Vélo, voiture ou transports publics: ces pendulaires témoignent de leur quotidien. Ignacio Figueredo relie quotidiennement Terre Sainte à Genève en voiture. Loin d’être un amoureux de la «bagnole», le Founachu roule pour sa famille.

06 juin 2019, 11:00

Pour ceux qui prennent l’autoroute le matin en direction de Lausanne, les interminables ralentissements sur les voies opposées ont tout d’une énigme. Pourquoi tellement de monde s’acharne à vouloir atteindre Genève en voiture alors que l’axe autoroutier semble être totalement arrivé à saturation? Il y a sans doute autant de réponses à cette question que d’automobilistes.

Pour Ignacio Figueredo, habitant de Founex, prendre quotidiennement sa voiture est une obligation dictée par des problèmes logistiques. «J’ai un enfant à la crèche de Coppet et un autre à l’école de Tannay, je les dépose les deux en voiture, puis je pars direction de Genève avec mon épouse qui y travaille aussi. Faire tout cela en transports en commun me prendrait bien trop de temps.»

Une moyenne de 45 minutes

Après la dépose des bambins, le couple remonte en direction de l’autoroute et subit une première série de ralentissements à l’approche de l’échangeur...

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