Quel est le souvenir de votre première fois à Paléo, en 2015?
Arthur (chant): C'est impossible de ne pas s'en souvenir. Au moment de monter sur scène, un énorme orage a éclaté. C'était un effet pyrotechnique assez cool (rires). Même les gens qui ne nous connaissaient pas ont dû se réfugier sous le Chapiteau du Détour. Quand l'air est électrique, il y a une tension palpable, tout le monde se resserre, c'est humide... On venait à peine de sortir quatre titres, et beaucoup de suisses connaissaient déjà notre musique. C'était dingue.
Ce soir, vous jouez sur la scène extérieure des Arches. Abordez-vous le live différemment en open air?
Sébastien (guitare et clavier): Forcément, il y a plus de monde, il n'y a pas d'espace physiquement déterminé, les gens peuvent venir et repartir. Et puis ce n'est pas forcément notre public, contrairement aux shows en salles. Il faut être tout de...