Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Paléo: le rap romand est devenu tendance

Vendredi, les rappeurs genevois Di-Meh, Slimka et Makala feront halte à Paléo. Loin de simplement surfer sur la nouvelle vague hip-hop francophone, le trio a développé sa propre identité et draine un public toujours plus important.

19 juil. 2018, 18:30
De gauche à droite, les trois rappeurs du XTRM Tour: Di-Meh, Makala et Slimka (en train de surfer sur le public). Une ambiance folle émane de leurs concerts.

C’est un retour de flamme, une déferlante. Au second plan durant de longues années, après une période dorée au milieu des années 1990, voilà que le rap - en particulier francophone – détrône à nouveau les groupes à guitares, reléguant les rock stars au rang de figures un peu ringardes. «Il y a un vrai renouvellement de la scène hip-hop depuis deux ou trois ans», expliquait Dany Hassenstein, programmateur de Paléo, lors de la sortie du programme.

Impossible pour le festival de passer à côté: une quinzaine d’artistes rap ont donc été programmés. C’est bien plus que les autres années. Les têtes de gondole de ce mouvement sont majoritairement françaises. Elles se nomment Orelsan, Nekfeu ou Rilès. Toutes sont présentes à Paléo.

Sur Youtube, ils affolent les compteurs de vues.

En Suisse romande, la scène hip-hop est aussi en effervescence. A Genève, précisément, où le collectif SuperWak Clique a élu...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias