Le dévoilement de l’affiche du Paléo est toujours un moment particulier. Entre les «J’aimais vraiment mieux celle de l’année passée», les «Le visuel déchire cette fois» et toutes les autres nuances critiques des festivaliers, à l’heure de la communication digitale elle donne toujours le ton d’une édition. Il faut dire qu’avec la déclinaison du visuel annuel sur d’innombrables supports – de l’incontournable gobelet aux décors de la Grande scène – difficile de ne pas baigner dans la création des graphistes lauréats.
Mais du côté du merchandising, le festival a opéré une mini-révolution. Depuis 2017, si l’affiche est toujours utilisée pour habiller différents objets, de nouveaux visuels ont fait leur apparition et l’offre en matière de produits dérivés s’est considérablement élargie. «La volonté de créer une marque Paléo, indépendante de l’affiche annuelle, vient d’une réflexion faisant suite à la faillite de la marque d’habits Switcher (lire encadré), explique David Franklin, responsable...