Sa première fois à Paléo, c’était en 1990. À l’époque, ses amis Hallyday, Aznavour ou Higelin étaient encore de ce monde. C’est à eux que Robert Charlebois rend hommage dans son dernier disque, «Et voilà», qui dresse un bilan de ses cinquante ans de carrière. Mais ne comptez pas sur le plus célèbre des chanteurs québécois, 75 ans, pour virer dans le pathos. Au téléphone depuis sa maison familiale d’Antibes, où il passe une semaine de vacances «pour s’adapter au décalage horaire», il l’annonce d’emblée: son retour sur l’Asse ce samedi, au Dôme, sera rock’n’roll.
Votre show s’appelle «Robert en Charleboisscope». Quelle nouvelle folie préparez-vous?
Tout le spectacle sera en cinémascope. Il y aura des films et des visuels projetés sur des écrans. À Paléo, je vais faire un gros show similaire à ce que je fais au Québec. Il célèbre la facette rock de ma carrière. Par contre je...