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Une métamorphose radicale

08 mars 2012, 00:01
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Cela avait été le choix des dirigeants de la marque à l'étoile de l'époque: la première Classe A était une voiture "pépère", une première Mercedes, confortable et de bonne tenue. Presqu'un investissement !

Mais contrairement à la deuxième, qui roulait sur les traces de sa devancière, la Classe A troisième du nom que le géant de Stuttgart dévoile en première mondiale en terres helvétiques, n'a plus rien à voir. Radicalement plus rien à voir, leurs seuls points communs se résumant à quatre roues et la prestigieuse étoile pour bannière. Le changement est évident, mais les caractéristiques techniques en illustrent non moins spectaculairement l'ampleur avec, par exemple, une carrosserie abaissée de 18 centimètres.

Plus concrètement encore, la nouvelle Classe A s'avère indiscutablement craquante sur le plan esthétique, bénéficiaire des dernières avancées du style maison, avec calandre de SL, flancs très sculptés et dynamisme visuel à fleur de tôle. Pour tout dire, cette cinq portes - à vocation toujours familiale sous 4,29 m de long - a des allures de coupé. Comme l'a fait remarquer le grand patron de la marque, Dieter Zetsche, "démarrer à partir d'une page vierge est une chance qui ne se présente que rarement dans le domaine du développement automobile", et les concepteurs n'ont assurément pas raté leur coup. Dotée d'un intérieur raffiné et de motorisations essence et diesel aux puissances comprises entre 109 ch et 211 ch, la Classe A devient l'un des piliers du renom de la marque.

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