Les vendanges touchent à leur fin, les raisins sont pressés. Et vu la qualité des fruits, tout indique que le vin sera bon, très bon même. Encore faudra-t-il le vendre, qu’il s’agisse de bouteilles ou, plus encore, du vrac. Dans une période pour le moins troublée pour les viticulteurs, c’est évidemment là que se loge le nœud du problème.
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On a déjà pu le lire en ce début de semaine, miné par un marché difficile, le vrac ne rapporte plus assez. Plus rien même, pour certains. Alors comment soutenir ces artisans de la terre, qui sculptent nos coteaux et agitent nos papilles? De cave en cave, les propositions fusent, et les coupables sont vite désignés. Il est urgent, disent les producteurs, de réguler le prix du vrac et, surtout, de limiter les importations....