La pression sur le secret bancaire en Suisse s'accroît et le standard international en matière d'échange automatique d'informations semble de plus en plus inéluctable. Au lendemain du revirement du Luxembourg, Berne défend plus que jamais sa stratégie de l'argent propre. La Suisse ne pourra résister à une mise en conformité au standard international en matière d'échange automatique d'informations, a estimé le professeur Luc Thévenoz hier sur les ondes de la RTS.
D'après lui, le processus devrait prendre moins d'une année. Mais ce n'est pas la fin du secret bancaire: seule sa dimension fiscal...