Après le rejet de Prévoyance vieillesse 2020, il est d’autant plus urgent de réformer le deuxième pilier, estime la commission de haute surveillance de la prévoyance professionnelle. Le déficit de financement persiste, malgré une hausse des rendements des placements.
«Il est grand temps que le législateur agisse», a dit, hier, Pierre Triponez, président de l’organe de haute surveillance, devant les médias, à Berne. Si les caisses de pension sans garantie étatique ont réduit ces dernières années les promesses d’intérêts à 2,75% en moyenne, elles dépassent encore nettement le niveau moyen du taux...