Baigné de soleil et de jazz, le café fribourgeois ne ressemble guère à un historique bar PMU. Mais au fond de la salle, quelques hommes scrutent sur un écran les chevaux galopant sur un hippodrome français.
Un des clients pose ses béquilles pour nous montrer ses mises: à peine une quinzaine de francs au total. Ses gains? «Minimum 450 francs par semaine», répond l’élégant quinquagénaire. Le jackpot, ce n’est pas pour aujourd’hui. Mais il pourrait venir prochainement... de Berne.
Disparité cantonale
Le Conseil fédéral veut défiscaliser tous les gains de loterie, y compris des courses hipp...