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Toujours plus de patrons remerciés pour raison éthique

Entre 2007 et 2011, 3,9% des changements de dirigeants s’expliquaient par ces comportements. Depuis 2012, ce chiffre atteint 5,3%.

15 mai 2017, 23:01
/ Màj. le 16 mai 2017 à 00:01
[Themenbild sexuelle Belaestigung am Arbeitsplatz, gestellte Aufnahme] Ein Geschaeftsmann legt am 5. Februar 2008 in einem Buero in Zuerich seine Hand auf die Hand einer Arbeitskollegin, die mit einer Maus den Computer bedient. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

[Themed picture of sexual harassment at work, posed picture] A business man puts his hand on the hand of a woman colleague while she is handling a computer mouse. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Harcelement sexuel au bureau SCHWEIZ SEXUELLE BELAESTIGUNG

Le nombre de départs consécutifs à des scandales ou à des affaires ayant trait à l’éthique (actes frauduleux, corruption, délit d’initié, désastre écologique, CV mensonger ou harcèlement sexuel) a augmenté de 36% au cours des cinq dernières années. C’est ce que révèle une l’étude «CEO Success» réalisée par PWC dans les 2500 plus grandes entreprises cotées en bourse à travers le monde.

Selon Pierre Péladeau, associé Strategy & (l’activité de conseil en stratégie de PWC), cette hausse serait notamment due à l’exigence d’une plus grande responsabilisation des dirigeants face aux manquements à l’éthique. Plusieurs facteurs permettent de l’expliquer, comme que «la méfiance de l’opinion publique suite à la crise financière de 2007-2008», «le renforcement de la réglementation», «l’augmentation des risques éthiques sur les marchés émergents» mais également «l’arrivée massive des moyens de communication numérique» et «l’accélération de l’information qui nous parvient aujourd’hui en continu 24h/24». L’exigence de...

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