Rome
RICHARD HEUZÉ
Matteo Renzi le reconnaît: l’échec est cinglant pour le Parti démocrate. «A Rome et à Turin, nous n’avons aucune circonstance atténuante.» Mais, ajoute-t-il aussitôt, «il ne s’agissait pas d’un vote national. Je n’ai jamais eu l’intention de me démettre, ni hier, ni aujourd’hui. Que cela soit bien clair.»
Cela dit, la pilule est amère pour le président du Conseil, et les quelques résultats engrangés ne suffisent pas à compenser le recul général subi dans ce deuxième tour des élections municipales partielles. La satisfaction la plus grande vient de Milan, où le candidat démocrat...