Pour la première fois depuis 2016, de fragiles pourparlers de paix inter-yéménites se sont ouverts, hier, en Suède, entre le gouvernement et la rébellion. Les belligérants ne se font guère d’illusions sur les chances de percée. Ils représentent une «opportunité unique» de ramener sur le chemin de la paix ce pays dévasté, où la famine menace, a déclaré, à l’ouverture des négociations, le médiateur de l’ONU, Martin Griffiths, à la presse, en présence des délégations yéménites, réunies dans un centre de conférence près de Stockholm.
Sur Twitter, le gouvernement a exigé «le retrait intégral» des re...