Plaintes de dix pays d'Europe centrale et orientale, interpellations au Parlement européen, grogne à Bruxelles, etc: le leader populiste et xénophobe néerlandais Geert Wilders, qui incite ses concitoyens à dénoncer les "nuisances" provoquées par l'ouverture du marché du travail des Pays-Bas aux ressortissants des nouveaux Etats membres de l'UE, suscite une fois de plus la polémique sur le Vieux continent.
Après les musulmans et les Grecs, le Parti pour la liberté (PVV) que dirige Geert Wilders - dont l'UDC Oskar Freysinger partage largement les idées - s'est trouvé une nouvelle tête de Turc. ...