Les résultats des élections législatives israéliennes ont mis le premier ministre, Benyamin Netanyahou, en position de pat, cette situation aux échecs où le compétiteur qui a la main ne peut pas jouer sans mettre son roi en échec. Il ne peut pas tenter de former un gouvernement en s’appuyant sur sa coalition faute de majorité.
Aux échecs, la partie est déclarée nulle, et une nouvelle s’engage. En politique israélienne, elle ne peut conduire qu’à la formation d’un gouvernement d’union nationale ou à un nouveau scrutin, le troisième en moins d’un an. Une dernière hypothèse dont personne ne veut e...