La crise ukrainienne et le bras de fer en cours avec la Russie poussent l'Otan à accélérer sa transformation. Elle doit toutefois évoluer sous la double contrainte des tensions internationales et des difficultés financières de ses membres.
"Si la Russie intervenait davantage en Ukraine, ce serait une erreur historique", a mis en garde le patron de l'Alliance atlantique, Anders Fogh Rasmussen, lors d'une réunion mardi à Paris consacrée à la préparation du sommet de l'Otan des 4 et 5 septembre à Newport (Pays de Galles).
Face au "plus grand défi posé à la sécurité de l'Europe en une générati...