Annoncé un peu rapidement comme historique, le bras de fer engagé entre les partenaires sociaux de la métallurgie allemande s’est achevé dans la nuit de lundi à mardi le plus traditionnellement possible. C’est-à-dire par un compromis, trouvé juste avant l’appel à la grève générale qui reste une rareté en Allemagne.
En tout, le syndicat IG Metall aura quand même mobilisé plus de 900 000 salariés dans la première phase de négociations, et 550 000 dans la dernière semaine, période pendant laquelle l’IG Metall a testé pour la première fois des débrayages longs de 24 heures, bien plus pénalisants p...