La décision d’Angela Merkel d’abandonner la présidence de son parti, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), en décembre, et de ne pas briguer sa propre succession à la tête du gouvernement allemand, en 2021, ne laisse de susciter des interrogations dans l’UE.
La chancelière disposera-t-elle encore, ces prochaines années, d’une autorité suffisante pour faire progresser des dossiers européens prioritaires, tels que la gestion des migrations, le Brexit, l’endiguement du national-populisme ou encore l’approfondissement de l’Union économique et monétaire européenne? Les avis sont extrêmement partagés. ...