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La Turquie et l’Egypte ensanglantées

11 déc. 2016, 23:34
/ Màj. le 12 déc. 2016 à 00:01
epa05670328 Police officers carry the coffin of a colleague who was killed in bomb attacks at the Vodafone Stadium in Besiktas a day earlier during the funeral in Istanbul, Turkey, 11 December 2016. At least 38 people were killed and 166 other wounded in two explosions outside Besiktas Stadium and in nearby Macka Park a few hours after the night's soccer match on 10 December. The bombs apparently targeted police officers who were securing the match.  EPA/SEDAT SUNA TURKEY BOMB ATTACK AFTERMATH

Le match qui opposait, samedi soir, les équipes de Besiktas et de Bursa au Vodafone Arena, dans le centre d’Istanbul, était terminé depuis une heure et demie lorsqu’une voiture a explosé devant un car de policiers stationné aux abords du stade. Quarante-cinq secondes plus tard, un kamikaze s’est fait sauter dans un parc à proximité, devant des policiers qui tentaient de l’interpeller. Trente des 38 victimes étaient des membres des forces de l’ordre, et au moins sept civils ont péri dans l’attaque, dont Tunç Uncu, un employé de la boutique du stade.

Son collègue Gökhan était à la caisse ce soir-là. «D’un coup, tout le stade a tremblé. J’ai cru à un séisme, puis j’ai ressenti la deuxième explosion et j’ai vu des dizaines de gens paniqués entrer dans le magasin», raconte le vendeur de 26 ans. «Tunç venait juste de partir. J’ai cherché son nom sur les listes...

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