L’heure est désormais plus au déblaiement qu’aux secours dans les villages frappés par le séisme qui a fait près de 300 morts dans le centre de l’Italie. Une certaine lassitude semble en outre gagner les 2500 rescapés sans abri et sans certitude pour l’avenir.
Le pape François, qui s’était montré bouleversé le matin du drame, a annoncé hier sa volonté de se rendre «dès que possible» dans les zones touchées. «J’espère venir vous trouver pour vous apporter personnellement le réconfort de la foi, la tendresse d’un père et d’un frère et le soutien de l’espérance chrétienne», a-t-il déclaré à l’atte...