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L’attitude des libéraux critiquée

Le président fédéral, Frank-Walter Steinmeier, tente une dernière médiation entre les partis pour éviter la tenue de nouvelles élections.

21 nov. 2017, 23:23
/ Màj. le 22 nov. 2017 à 00:01
Leader of the  Free Democratic Party of Germany, FDP, Christian Lindner arrives for a board and faction meeting  of the FDP in Berlin, Monday, Nov. 20, 2017. German Chancellor Angela Merkel pledged early Monday to maintain stability after the Free Democratic Party pulled out of talks on forming a new government with her conservative bloc and the left-leaning Greens, raising the possibility of new elections. (Bernd von Jutrczenka/dpa via AP) Germany Politics

Hostile à de nouvelles élections pour tenter de régler la grave crise politique ouverte dimanche dernier, le président allemand, Frank-Walter Steinmeier, a entamé hier les consultations promises avec les chefs des partis impliqués. Dans l’après-midi, il a reçu les écologistes Kathrin Göring-Eckard et Cem Özdemir. Ils ont été suivis par Christian Lindnerk, président fédéral du Parti libéral. Pendant ce temps, le Bundestag tenait sa première séance ordinaire, pour voir comment l’Etat allemand pourrait fonctionner ainsi pendant de longues semaines.

Aucun communiqué n’a commenté les rencontres du Président. On sait cependant qu’il s’est amplement informé des raisons et des conditions de la rupture des négociations. En effet, deux jours après le big-bang berlinois, la petite phrase qui a provoqué l’effondrement du projet «Jamaïque», «Mieux vaut ne pas gouverner que de mal gouverner» est plus que jamais au centre du débat politique. Et son auteur Christian Lindner, qui assume, est attaqué de...

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