Les discussions entre les représentants d’Assad et ses opposants, c’est un peu comme les défuntes négociations de paix israélo-palestiniennes: les problèmes commencent lorsque les ennemis entament leurs discussions. Quatre jours après le début des pourparlers de Genève, l’ONU, qui joue les intermédiaires, en est encore à régler des problèmes de procédure.
D’abord sur le format de cette quatrième session de négociations: nul ne sait si, d’ici à vendredi, terme fixé pour ce round, des échanges directs auront lieu entre les délégués prorégime et leurs opposants. Jusqu’à maintenant, Staffan de Mist...