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Les pro-Berlusconi veulent que sa fille lui succède

Les électeurs de Berlusconi souhaitent voir sa fille lui succéder, selon un sondage publié dans le "Corriera della Sera".

04 nov. 2013, 07:01
FILE - In this May 21, 2009 file photo Italian former Premier Silvio Berlusconi's daughter Marina Berlusconi looks on, during the Italian Confindustria industrialists and businessmen association assembly  in Rome's Auditorium. Italy may get its own political dynasty out of the ashes of Silvio Berlusconi?s political career. The nation has been buzzing with speculation that Marina Berlusconi will step in as her father?s political heiress ever since the Supreme Court last week confirmed the three-time former premier?s tax fraud conviction, jail sentence and ban from politics. Berlusconi?s eldest daughter is a long-time executive at his Mediaset media empire and was among a clutch of close advisers by his side at his Rome residence when the court ruled on Aug. 1, 2013. She has in the past repeatedly denied any intention to enter politics, but has remained silent during this new round of speculation. Political analysts say the prospect of a Marina Berlusconi candidacy is realistic. (AP Photo/Alessandra Tarantino, file)

Marina, la fille de Silvio Berlusconi, pressentie pour prendre sa succession à la tête de son parti, le Peuple de la Liberté (PDL), est considérée par une forte majorité d'électeurs de cette formation comme une possible future Première ministre. C'est ce que révèle un sondage publié par le "Corriera della Sera".

Soixante-cinq pour cent des électeurs du PDL, le parti de centre-droit de Silvio Berlusconi, estiment que Marina Berlusconi, 47 ans, "pourrait convenir pour le poste de Premier ministre", selon ce sondage. Cet avis est partagé par 57% des partisans du centre-droit en général.

Les spéculations se sont multipliées en Italie sur la question de savoir si M. Berlusconi, déjà condamné à une peine de prison et englué dans plusieurs affaires judiciaires, remettrait la direction du parti à sa fille aînée. Cette dernière, présidente du puissant groupe familial Fininvest, a toutefois répété à plusieurs reprises qu'elle n'était pas intéressée par une carrière politique.

La condamnation de Silvio Berlusconi à un an de prison pour fraude fiscale et le prochain vote du Sénat sur son éventuelle expulsion du Parlement ont remis en question sa main-mise sur son parti, Marina apparaissant aux yeux de ses partisans comme le seul choix possible pour lui succéder.

 
 
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