Les Britanniques ne doivent pas se bercer «d’illusions»: ils ne pourront pas négocier, à l’avenir, leur accès au marché européen des services financiers. Tout dépendra du bon vouloir de l’Union, a prévenu, hier, le négociateur en chef de l’UE pour le Brexit, Michel Barnier.
Le Français a participé, hier, à un débat au Parlement européen sur l’avenir des relations entre le Royaume-Uni et l’Union, qui débouchera, aujourd’hui, sur l’adoption d’une résolution par les eurodéputés. Ils auront le dernier mot sur l’accord de libre-échange que Bruxelles et Londres espèrent conclure avant la fin 2020.