Le chef d’état-major de l’armée algérienne a opposé, mardi, une fin de non-recevoir aux revendications des manifestants en Algérie, qui veulent des institutions de transition ad hoc pour gérer l’après Abdelaziz Bouteflika. Ils exigent, notamment, le départ de l’ensemble des figures du «système» au pouvoir.
Parmi les personnes visées par les manifestants, figurent en premier lieu le chef de l’Etat par intérim, Abdelkader Bensalah, et le premier ministre, Noureddine Bedoui, deux anciens proches de Bouteflika.
La présidentielle prévue le 4 juillet pour élire un successeur au chef de l’Eta...