La principale figure de l'opposition syrienne a conditionné hier toute négociation avec les autorités à un départ du président Bachar al-Assad, au moment où les violences s'intensifiaient aux portes de Damas. Du côté de l'ONU, les appels à une intervention se font de plus en plus pressants. Des ministres des Affaires étrangères occidentaux vont tenter d'ailleurs aujourd'hui à l'ONU de sortir le Conseil de sécurité de son immobilisme sur la Syrie. Mais aucun vote n'est prévu sur un projet de résolution soutenu par les Européens et des pays arabes, selon des diplomates. Paris a annoncé officiell...