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Scrutin marqué par des violences

01 oct. 2017, 23:12
/ Màj. le 02 oct. 2017 à 00:01
epa06237424 Catalan people clash with police outside at a polling center set at a health clinic clash with Spanish National Police officers after police forces seized ballot boxes during the '1-O Referendum' in Cappont, Lleida, Catalonia, northeastern Spain, on 01 October 2017. National Police officers and Civil guards have been deployed to seize voting material and to prevent the people from entering to the polling centers and vote in the Catalan independence referendum, that has been banned by the Spanish Constitutional Court, what has provocked clashes between pro-independence people and the police forces in some polling centers.  EPA/Adria Ropero SPAIN CATALONIA REFERENDUM

La journée électorale de ce référendum d’indépendance interdit promettait d’être atypique. Le scrutin, suspendu par la Cour constitutionnelle et dont le gouvernement espagnol promettait qu’il n’aurait pas lieu, alors que l’exécutif catalan assurait qu’il se tiendrait, ne pouvait pas être normal.

Dès hier matin, le gouvernement indépendantiste confirmait l’étrange nature de ce vote, en autorisant les électeurs à placer des bulletins sans enveloppe dans des urnes opaques achetées sur Alibaba. Il permettait également de voter dans n’importe quel bureau, en vertu de listes électorales soudainement déclarées «universelles». Et au même moment, ou presque, les charges policières ont transformé l’étrange journée électorale en un psychodrame national. Hier, l’interminable débat sur la possibilité ou non, pour les indépendantistes catalans, d’avancer vers leur horizon souverainiste a changé de nature. Les 465 blessés, selon le bilan du gouvernement catalan, et les images de citoyens de tous âges frappés par les forces de l’ordre espagnoles...

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