Olga Shylenko
Trente ans après la pire catastrophe nucléaire, la zone hautement contaminée autour de la centrale de Tchernobyl, abandonnée par ses habitants, s’est transformée en une réserve unique. De nombreux animaux sauvages y prospèrent.
«Quand les gens sont partis, la nature est revenue», résume Denis Vichnevski, ingénieur en chef de la «zone d’exclusion», qui se situe dans un rayon de 30 km autour du site accidenté. Près de lui, un troupeau de chevaux sauvages est à la recherche de nourriture sous une épaisse couche de neige immaculée.
Une image qui pourrait sembler surréaliste à ceux qui o...