Donald Trump ne s’est pas maintenu très longtemps sur les hauteurs «présidentielles» auxquelles l’avait porté, mardi dernier, son discours devant les deux chambres du Congrès. Poursuivi par le spectre de relations secrètes avec la Russie durant une campagne marquée par les piratages informatiques de Moscou, le président a tenté une diversion en accusant son prédécesseur de l’avoir espionné. Mais, faute d’éléments tangibles, ce nouveau scandale est en passe de se retourner contre lui.
Dès le lendemain de sa prestation applaudie au Capitole, la révélation par le «Washington Post» que son ministre...