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Un sommet, des zones d’ombre

Johann Schneider-Ammann rencontrera Jean-Claude Juncker, lundi à Zurich. La fin des ennuis pour Berne? Pas sûr du tout.

13 sept. 2016, 23:55
/ Màj. le 14 sept. 2016 à 00:01
European Commission President Jean-Claude Juncker, left, is greeted by Switzerland's President Johann Schneider-Ammann, right, before a bilateral meeting at the 11th Asia-Europe Meeting (ASEM) in Ulaanbaatar, Mongolia, Saturday, July 16, 2016. (AP Photo/Mark Schiefelbein) MONGOLIA ASIA EUROPE SUMMIT

Bruxelles Tanguy Verhoosel

Le président de la Confédération, Johann Schneider-Ammann, et celui de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, parviendront-ils à débloquer le tentaculaire dossier des relations entre la Suisse et l’UE, lorsqu’ils se rencontreront le 19 septembre à Zurich? C’est peu probable, en raison de sa complexité et des mille précautions dont Bruxelles doit s’entourer, après que les Britanniques ont choisi de quitter le club communautaire. Mais les deux présidents éviteront soigneusement de jeter de l’huile sur le feu.

Les membres de la commission des institutions politiques du Conseil national ont envoyé un signal positif aux Européens, le 2 septembre, en prônant une mise en œuvre souple de l’initiative de l’UDC «contre l’immigration de masse», que les Helvètes ont approuvée le 9 février 2014. Sa proposition vise à exploiter au maximum le potentiel que représente la main-d’œuvre «indigène» (Suisses et Européens) déjà disponible en Suisse. Au cas où subsisteraient malgré...

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