Victime favorite des attaques du président élu américain sur Twitter, le gouvernement chinois commence à s’agacer sérieusement de ce mode de communication. Un comble, pour un pays qui pensait s’être protégé du pouvoir de nuisance du réseau social en en interdisant l’accès à sa population.
Il faut dire que dans son flot de messages de 140 caractères maximum, Donald Trump a depuis quelques mois pris l’habitude de bousculer sans ménagement Pékin sur des sujets sensibles. Brisant un tabou, il a défendu sa conversation téléphonique avec la présidente taïwanaise. Mais aussi accusé la deuxième puissan...