Les ministres des Finances de la zone euro devaient - enfin - donner leur feu vert, dans la nuit d'hier à aujourd'hui, au déblocage d'un deuxième plan de sauvetage de la Grèce, menacée de faillite. Méfiants, ils ont toutefois prévu de placer une partie des 130 milliards d'euros prévus jusqu'à 2014 sur un "compte séquestre" , afin de s'assurer qu'Athènes accordera la priorité au service de la dette.
"On a les pièces du puzzle, (...) tous les éléments pour parvenir à un accord" , a déclaré le grand argentier français, François Baroin à son arrivée à Bruxelles, où son homologue allemand, Wolfga...