Toutes et tous écrivains?

Thriller, polar, roman, recueil de poèmes, mémoires, souvenirs. Quel que soit le type de manuscrit que vous ayez écrit, sa publication est désormais à portée de clic grâce aux moyens de l’impression numérique et de plateformes d’autopublication en ligne. Le monde de l’autoédition est en plein essor. Mirage ou panacée? Cette accessibilité n’est pas sans écueils, notamment financiers. Mais au final, tout dépend de l’ambition de l’auteur ou de l’autrice: laisser une trace pour ses proches ou devenir écrivain.

 Dans ce second cas, le monde de l’édition traditionnel reste un gage de légitimité et de visibilité, du fait de ses réseaux de distribution notamment. Car les plateformes d’autoédition comme celle d’Amazon ne prennent pas en charge la promotion de l’ouvrage.

Une tâche chronophage qui pourrait bien être le principal revers de l’autoédition. Pour y faire face, certains comme François-Xavier Paccaud ont décidé de mutualiser les ressources sous forme associative pour promouvoir la richesse de l’autoédition. D’autres espère l’utiliser comme un tremplin vers une maison instituée. Enquête.

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