Des fragrances de grande Histoire, de passion brûlante, d’érudition, de pensées philosophiques, dans un style foisonnant, le tout saupoudré d’humour et d’un brin de sensualité, «Parfum d’osmose», le dernier roman à suspense de Jean-Pierre Althaus nous tient en haleine de bout en bout.
L’écrivain, journaliste et comédien de Saint-Prex, fondateur et directeur de l’Octogone de Pully pendant plus de trente ans, nous plonge au cœur des soubresauts de la grande histoire, à la veille de la révolution russe puis durant la Première Guerre Mondiale. On y suit les pas d’un comédien genevois et d’une comtesse russe tombés en amour dans la Cité de Calvin. On y croise également Lénine, à Genève, ou Raspoutine, en Russie.
Ensemble, le couple va lutter pour la liberté, s’opposant à tout joug qui opprime les peuples. Brillant, le dernier roman de Jean-Pierre Althaus entre, en sus, et étrangement, en résonance avec le retour de la guerre en Europe.