Hommage à Contessa Pinõn - messages


Juju, Nyon            2016-05-24 15:07:54        

Juju remontant le chemin du midi avec ses bretelles, sa chemise à manches courtes et sa mallette en cuir: "Elle va nous manquer Contessa, 45 ans, mais c'est trop jeune!! Quand je la voyais au Quai 23 Madame Contessa, je m'asseyais près d'elle et on causait de choses et d'autres, pas de journalisme, de tout et de rien, et je lui avais dit Gaffe-toi Contessa, tu prends trop les choses à cœur ... Vous transmettrez mes amitiés à toute l'équipe"

Guex, Ludivine,            2016-05-24 15:05:36        

Je tenais à adresser toutes mes condoléances à toute l équipe de Contessa ainsi qu à ses proches. J ai été très peinée d apprendre sa disparition qui me touche énormément. J ai eu le bonheur de la connaître un peu en faisant des piges pour le journal puis par la suite elle a fait un article sublime sur l un de mes projets et elle a toujours répondu présente pour tous les autres projets. Merci Contessa tu étais une belle personne. Tu nous manqueras... Ludivine

Grzesiak Myriam, lausanne            2016-05-20 21:22:35        

Bonjour, Mme Pinon m'avait permis d'effectuer un stage au sein du journal en 2011. Je lui en suis très reconnaissante. Mes sincères condoléances pour cette perte. 

Laurent Roy, Bretigny-sur-Morrens            2016-05-20 20:34:58        

Je ne connaissais pas Contessa. Je ne me rappelle que lorsqu'elle est née, fille de Robert, fidèle collaborateur de mon grand-papa Louis Rosset vigneron sur la Côte et de sa maman Josepha qui faisait le ménage chez grand-maman Nelly qui les aimait beaucoup. Lorsqu'elle est née, j'étais en vacances chez mes grands-parents et grand-maman m'avait dit "Carmen a maintenant une petite soeur, Contessita, mais en français on dit Contessa". La fierté de mes grands-parents bien des  années plus tard pour ces deux filles de Robert et Josepha, l'une infirmière et l'autre journaliste. Je ne sais rien d'elle, mais je suis certain qu'elle est une femme remarquable. Bravo. Laurent 

Probst Jean-Robert, Perroy            2016-05-20 09:40:41        

Merci Contessa pour ce que vous avez réalisé tout au long de votre trop brève carrière à la tête du journal La Côte. Je retiendrai de nos rencontres votre sourire lumineux. Reposez en paix au royaume céleste, en compagnie de tous ces grands journalistes qui vous ont précédé.

Martignier Sylvie , Eysins            2016-05-20 08:22:49        

J'adresse toutes mes condoléances à la famille ainsi qu'aux proches de Madame Piñon.

Céline Reuille / Quotidien de la côte, Nyon            2016-05-19 23:33:23        

Trop de souvenirs et de sentiments se bousculent pour que j’arrive à trouver les mots. Il y a 8 ans, alors que tu étais journaliste, j’ai eu la chance d’entrer dans l’équipe qui deviendra la tienne deux ans plus tard. Tu m’as gardé au sein de cette rédaction, tu m’as fait confiance, tu m’as toujours défendue et soutenue (jusque dans le bureau du Big Boss…). Grâce à toi, j’ai eu la chance d’évoluer, de grandir, d’apprendre à me remettre en question, de dépasser mes limites… J’adorais quand tu me disais « Merci » après m’avoir rajouter un sujet sur lequel je m’empressais de courir, ou quand tu t’excusais de me réveiller en pleine nuit pour un incendie à l’autre bout de la Côte. Ces petits détails de ta personnalité faisaient toute la différence. Aujourd’hui, mon cœur saigne, et mes yeux pleurent… Cette fois, Contessa, c’est à moi de te dire merci… Merci pour tout ce que tu m’as apporté, merci de m’avoir écoutée (râler) et de m’avoir supportée durant toutes ces années ! Tu me manques déjà… RIP ma collègue, ma cheffe, mon amie… .

Braibant Jean-Pierre, Le Brassus            2016-05-19 23:02:42        

Je viens d'apprendre avec stupeur la mort de Contessa... Je ne trouve pas de mot pour exprimer ce que je ressens. J'avais de Contessa le souvenir d'une ex collègue d'une très grande gentillesse à qui l'on ne pouvait rien refuser (même quand c'était très difficile). RIP 

MALLET Laurent, Vers            2016-05-19 13:12:34        

Au cours d'un stage à la Côte j'ai eu la possibilité de vous côtoyer, et j'ai rencontré une femme pleine de vie et dévouée corps et âme pour ce journal, vous m'avez fait découvrir et vivre ce métier. Votre disparition m'a fait un choc. Toutes mes condoléances à la famille.

Vermot-Desroches Véronique, Les Bioux / Vallée de Joux            2016-05-19 12:05:57        

Cela faisait 10 ans que nous nous connaissions, dont 5 à collaborer étroitement et 5 autres années où nous nous croisions avec plaisir lors d’évènements divers. Je garderai au fond de mon cœur la personne attentive et bienveillante que vous étiez. Lors d’échanges plus personnels, vous me disiez de prendre soin de moi. Que d’aimer son travail, n’était pas la seule raison d’exister ou de vivre. C'est ce que je m'évertue à faire depuis lors. Mais comment juste le penser alors que vous, vous n'aurez pas pu vivre ce que vous deviez vivre... Vous faites partie des personnes qui nous ont quittés et que je chercherai inévitablement à recontacter. Nos échanges sincères, même ponctuels, m’enrichissaient. C’est avec une grande émotion que je termine ce petit mot. Vous allez terriblement me/nous manquer… Au revoir Contessa. (Je ferme les yeux et perçois le signe de la main, accompagné de votre magnifique sourire à fossettes de notre dernière entrevue).

Marie-Louise Bergendi, 1260 Nyon            2016-05-19 00:55:20        

Votre départ si rapide et si jeune m'a beaucoup  touchée. Mes très sincères condoléances à votre famille et en particulier à votre ami Laurent.

impressum vaud, Morges            2016-05-18 16:29:13        

On n'ose à peine y croire. On relit l'édition du 12 mai et on se dit que, pour elle, c'était la dernière. Alors on cherche sa patte, toutes ces petites choses qui nous permettent de la sentir encore vivante, encore aux commandes. Contessa Piñon avait 45 ans et elle laisse un immense vide derrière elle. Pour tous ceux qui ont eu la chance de la côtoyer, elle restera cette femme lumineuse et souriante. Cette collègue, cette rédactrice en chef mais aussi cette amie qui savait écouter, conseiller, rassurer. Une femme qui guidait ses troupes avec une sincérité et une justesse rares.  D'aucuns se souviennent encore d'un soir de Paléo lors duquel elle n'a pas hésité à veiller jusqu'à 4h du matin dans l'attente d'un coup de fil d'une stagiaire. Avant de s'endormir, elle voulait s'assurer que tout s'était bien passé durant une interview tardive. Veiller sur les autres quitte à y perdre une nuit de sommeil, c'était bien Contessa. Sa petite voiture bleu ciel, ses apéros "Coupe du monde" lors des grands rendez-vous de football, ses longs cheveux bouclés, ses textes si bien ciselés: il nous restera tout cela aussi de cette grande dame, et bien d'autres choses encore... Aujourd'hui, une rédaction, une région mais aussi toute une profession pleurent une journaliste accomplie qui s'est investie corps et âme pour "La Côte". A sa famille, à ses amis, à ses collègues et à tous ceux à qui elle manquera, impressum Vaud adresse ses plus sincères condoléances. Caroline Gebhard membre du comité d'impressum vaud

Armelle Sibille, Bordier & Cie, Genève            2016-05-18 15:39:33        

Chère Madame, Au nom de Bordier & Cie, nous vous présentons toutes nos condoléances (à vous et à toute votre équipe de La Côte) pour le décès de Madame Contessa Pinon. Cordiales salutations, Armelle SIBILLE

Eliane Dambre, Théâtre du Funambule, Nyon            2016-05-18 15:37:54        

A la direction du Journal de la Côte, aux collaborateur et amis, La disparition de Contessa Pinon laisse mon coeur en peine. Je voudrais apporter mes pensées attristées à toutes les personnes qui sont dans le chagrin. Contessa a été pour les Ateliers et Théâtre du Funambule à Nyon plus qu’une journaliste qui avait pris à coeur l’avenir et le travail accompli de ce lieu. Son soutien sans faille nous a permis de faire découvrir au public ces jeunes talents. Elle restera dans nos mémoires comme une personne généreuse et humaine.  Avec toutes mes condoléances. Eliane Dambre

Murisier, Valérie, Ensemble Choral de la Côte, Nyon            2016-05-18 15:36:54        

Biens chers amis qui faites régulièrement le lien entre la rédaction du journal et nos événements, Nous sommes profondément choqués et attristés par le décès subit de votre rédactrice en chef, Contessa Piñon. Je l’ai eu au téléphone en ce début d’année dans le cadre de nos futurs concerts. même si nous ne la côtoyions pas beaucoup, nous en apprécions son dynamisme à travers le journal et sa disponibilité à nous répondre. Je vous adresse au nom de l’Ensemble Choral de la Côte nos plus vives condoléances que vous transmettez également à l’équipe de la rédaction. Même si nos concerts auront lieu en fin d’année, nous aurons une pensée particulière pour elle.

Tristan Carbonatto Chocolatier, Bougy-Villars            2016-05-18 10:06:24        

Je tiens à écrire ces quelques mots..... A son compagnon, sa famille et son équipe de tous les jours, mon soutien, ma tristesse, ma douleur. Amitiés . Tristan Chocolatier

David Glaser, Lausanne            2016-05-18 08:32:44        

La nature est devenue soudainement très belle, le lac respirait l'air frais de ce Printemps étrange, l'atmosphère était tranquille, on était vendredi 13 certes mais on aurait pu croire que c'était le 1er janvier en Californie à Salinas, là où tu avais cheminé sur les traces de Steinbeck, un mélange de soleil voilé et de petites poussées de vent humide, un temps breton ou plutôt galicien. Pour conjurer un éventuel mauvais sort la veille en sachant Contessa en difficulté, j'avais imploré Dieu peut-être avec des mots pas très justes, des pensées un peu confuses... C'était l'émotion, je ne lui demande pas grand chose en général vu qu'on entretient des relations respectueuses mais assez distantes. Mais là, j'y suis allé de ma prière amicale, du genre il faut se bouger un peu plus pour Contessa, elle ne va pas bien là, fais quelque-chose bon-sang! Quand même, on a un journal à faire et sans elle c'est quasi impossible. Et puis elle est dans la force de l'âge, elle a tellement de belles choses à faire... Bref, j'avais demandé au très Haut qu'il s'occupe de celle qui avait fait le choix de m'embaucher et qui m'avait dit «quand tu as dit lors de notre entretien que tu ne refusais pas un coup à boire après une longue journée de travail, j'ai su qu'on avait le bon candidat...» dans un sourire désarmant. Je me voyais célébrer ton retour au travail en débouchant une bouteille de chez Monnard à Mont-sur-Rolle, pas très loin de chez toi. Donc peu importe le temps, peu importe le prix, je remettais ma requête à notre grand barbu faiseur de miracle en quelques mots formulés assez vite mais avec conviction, espoir, confiance et amour. Il ne faisait aucun doute que cet AVC venu te frapper ce jeudi matin maudit ne serait plus qu'un souvenir lointain très vite. C'est fini A 45 ans, six petites années de plus que moi, Contessa a donc pris un chemin inattendu. Un satané AVC l'a commandé ! Cruel destin, sortie difficile à accepter pour tous les gens qui l'adoraient, c'est-à-dire beaucoup de monde. Je suis passé par plusieurs états, de la tristesse à la colère en revenant à la tristesse sans pour autant oublier d'ouvrir la porte de ma mémoire fraîche et pleine de moments agréables passés à refaire le monde pendant cette trop courte histoire que l'on a en commun. Contessa, je la sens là près de moi maintenant, près de nous, à nous regarder, à nous accompagner, à nous encourager, à nous pousser à continuer malgré ce congé de trop longue durée. De là où elle est, je la sens nous lancer un petit défi. Celui de faire briller La Côte, son journal, notre journal et notre site internet. Alors pari tenu Contessa, on va continuer et on va le faire avec amour et dévotion, avec l'envie et la curiosité, le plaisir et le sens critique dans le respect des autres, dans l'amour de notre région magnifique La Côte, de notre culture multiple, de notre ouverture sur le monde avec l'absence d'ornières et de barrières. Continuer sans toi Contessa, sache que l'on va te rejoindre, c'est sûr... je ne sais pas quand mais je vais faire en sorte que ton esprit demeure tant que je suis ici, de te représenter tant que l'énergie et la foi perdurent, de garder tout ce que tu m'as appris en un peu moins d'un an et demi (une jolie durée quand on travaille avec toi même si le temps a glissé à la vitesse de la lumière). Je suis sûr que je ne serai pas seul dans cette mission, vu la solidité et la solidarité de l'équipe construite à ton image au journal. On sera là bien présents au service des gens qui comptent pour nous. Je suis conscient de l'importance de la tâche comme tout un tas de camarades aujourd'hui recueillis dans le respect de ta mémoire, de ton magnifique aura, de tes proches et de celui qu'on connaît le mieux, le génial Laurent. Laisse-moi te rendre hommage en essayant de reprendre quelques-uns de tes traits de caractère, quelques-unes de tes qualités, la liste est longue mais c'est bien car on n'a que l'embarras du choix du coup : modestie, écoute, intelligence, humour, passion et compassion... et amour aussi... Car Contessa tu es amour, dans l'au-delà où on vient d'organiser un succulent pot de bienvenue avec les vins de La Côte... comme sur terre, dans les textes, les photos, les dessins dans les pages du Quotidien de La Côte, sur lacote.ch ou dans les rapports humains avec tes collègues, tes amis, ta chère soeur et Laurent... D'ailleurs vous formez un couple magnifique Laurent et toi, deux personnalités très cultivées, ouvertes, progressistes, au regard acéré sur les tourments du monde mais aussi, et c'est surtout ça qui me plaît chez vous, un oeil si joliment ouvert sur les beautés de notre vie.   Merci de m'avoir accueilli dans ta vie professionnelle, dans ta vie tout court même si nos discussions étaient toujours un peu abrégées, compressées, expédiées entre un brief du matin au pas de course et des rendez-vous de service digital/éditorial très vite refermés pour toujours laisser place à l'info en continu sur notre site et sur les réseaux. Cette masse de données résumant notre quotidien n'arrête jamais de se régénérer. Merci pour l'attention que tu portais à mon effort de créer des « sujets » qui nous plaçaient sur l'échelle de La Côte mais aussi souvent sur l'échelle du monde... Même si on n'a pas eu beaucoup d'occasions de refaire ce monde dans des discussions hors-cadre, finalement notre relation au travail a été très confraternelle, amicale et très respectueuse jusqu'au bout... merci beaucoup très chère amie pour ce luxe, c'est devenu très rare de nos jours. Cette façon de traiter tes employés avec respect, rigueur et motivation en inspirera plus d'un. Tu es une Grande parmi les grands du journalisme. Personnellement, j'irais toujours vers ce genre de rapport d'employés à responsables, celui qui fait réussir un journal et n'importe quelle entreprise.   Je veux citer quelques lignes de poème d'Alfred de Vigny pour toi Contessa, désolé j'ai un peu coupé dans le texte car après tout il faut être super punchy aujourd'hui pour se faire lire des amateurs de YouTube, Snapchat et autre Instagram sur notre site. Elles résument à mon avis pas mal de choses sur la mort: ...Aujourd’hui je sais tout, je te vois, et j’embrasse L’avenir qui n’est pas, le passé qui n’est plus, Les temps qui doivent naître et les temps révolus. Je conçois l’espace, L’univers s’efface Et devant ta face Tout s’unit en toi. Je vois tout s’y peindre, Je vois, sans les plaindre, Les mondes s’éteindre Et fuir devant moi. Je puiserai ma force en ta force suprême, J’ose marcher vers toi, j’ose lever les yeux. Un seul de tes regards me révèle à moi-même : Je m’étais échappé de ton sein radieux, Perdu comme l’étincelle Qui, dans les nuits de l’été, Blanche et légère parcelle D’une immortelle clarté, Quitte le chœur des étoiles, Des vapeurs perce les voiles, Et tombe sur les roseaux Et s’éteint au fond des eaux...

Toute l'équipe d'Aquafitness de la piscine de Bassins, Bassins            2016-05-17 22:39:36        

Nous sommes tous sous le choc de la disparition de Contessa que nous appréciions beaucoup.Elle venait chaque  semaine depuis de nombreuses  années et avait toujours le sourire durant tout le cours.  Nous sommes en pensée avec ses proches.

Jean-René LEPEZEL, CHéserex            2016-05-17 21:45:31        

Une grande professionnelle que j'ai eu la chance de côtoyer momentanément. Toujours à l'écoute, sachant relancer le débat ou la conversation, sans cesse à la recherche de l'information pertinente ; patiente, modeste, objective et passionnée, elle vivait intensément son métier de journaliste. Une perte cruelle ! Jean-René LEPEZEL Président du Conseil Communal de Chéserex

Yvan Mulone, Gland            2016-05-17 18:59:12        

Chère Contessa, tous ces hommages, cette attention dont tu es le centre, ça ne t'aurait certainement pas mise à l'aise. Mais tu le mérites, c'est ainsi. Il faut assumer que ton humilité, ton humanité, ton intelligence et ta douceur puissent avoir marqué celles et ceux que tu as croisés, côtoyés ou dirigés. C'est ainsi. Je garderai toujours en moi, et en bonne place, le souvenir de ton rire et de certaines de nos conversations, le sentiment de privilège d'avoir pu travailler avec toi, et ce lancinant mal de coeur de t'avoir vue partir si vite, si tôt. Fais bon voyage, amiga. Nunca te olvidaré.

Municipalité de la Ville de Gland, Gland            2016-05-17 17:06:45        

C’est avec grand regret que la Municipalité de la Ville de Gland a appris le décès soudain de Mme Contessa Piñon. C’était une journaliste passionnée et exigeante, avec qui nous avons eu beaucoup de plaisir à travailler depuis plusieurs années. Nos pensées vont à sa famille et à l’ensemble de la rédaction qu’elle a incontestablement marqué de son empreinte. Sa volonté et son aura continueront à bercer le quotidien, car , comme l’a dit Victor Hugo, les personnes disparues sont invisibles mais elles ne sont pas absentes.

Bovy Christiane, Gland            2016-05-17 17:02:01        

Chers collègues, c'est avec beaucoup de peine que j'ai appris la nouvelle alors que je suis en vacances. Contessa était vraiment une personne joyeuse et une collègue agréable. Je suis en pensée avec vous tous et pour toi Laurent reçoit toute ma sympathie.

Dominique Suter,            2016-05-17 16:36:26        

Contessa, tu n'étais pas ma cheffe, tu étais bien plus que ça, mon amie, ma collègue. En presque 30 ans, nous avons traversé tant d'orages, de tempêtes, mais d'eaux calmes, de rires aussi au sein de ce journal... Dire que tu es parties trop tôt est un euphémisme. Et tu laisses un vide abyssal. Je ne peux pas tourner la tête et voir ton bureau vide. Mais tu vois, aujourd'hui à midi, la rédaction a partagé le repas de midi au restaurant. Et nous avons allumé deux petites bougies. Tu étais avec nous, comme tu l'es encore à chacune des éditions que nous nous efforçons de mener à bien depuis ton départ. Parce que chacun d'entre nous sait que c'est ce que tu aurais fait, ce que tu aurais voulu que l'on fasse. Alors pour le journal, mais aussi et surtout pour toi, nous allons continuer vaillamment à faire notre job. Tu ne t'es pas battue pour rien... Reposes en paix

Brigitte, Nyon            2016-05-17 14:45:13        

En compagnie de ta soeur nous avons bu un verre ensemble le vendredi soir lors des remises des prix du vision du réel.Il pleuvait et nous avions rigolé car aucune de nous avaient un parapluie.L'image de ce dernier soir je la garde dans mon coeur.Contessa tu nous maque...

Grégoire Marcel, Céligny            2016-05-17 11:34:43        

Ma profonde sympathie aux proches de Contessa Piñon, ainsi qu’aux employés de «La Côte», en cette période de deuil.

Ellen, Crans            2016-05-17 10:51:38        

Chère Contessa, je ne t’ai pas connue assez longtemps. Aperçue par hasard il y a quelques semaines, sur un quai de gare, comment ne pas reconnaître cette joyeuse chevelure de boucles sauvageonnes? Il était très tôt, nous allions toutes les deux à Lausanne. Tu étais incroyablement souriante, un rayon de soleil dans la grisaille. C’est ainsi que je me souviendrai de toi, et de comment nous avons ri dans ce wagon, au milieu des pendulaires bougons qui ne réalisent pas que le temps file et qu’eux ne rient pas. Toi, tu riais, tu étais ce point de lumière qui brillait dans le vent battant. J’aime à croire qu’à présent tu brilles ailleurs, quelque part où il y a moins de vent. 

Cavaleri Florian, Journaliste Nyon Région Télévision, Nyon            2016-05-17 10:15:09        

Ma Chère Contessa, lorsque NRTV n’allait pas bien et que cette chaîne de télévision était menacée de disparition, tu m’avais écrit ce petit message de soutien : « … Il y a de la place pour toi dans nos colonnes. » Et bien sache ma Chère Contessa, qu’il y aura toujours de la place pour toi dans ma mémoire et dans mon cœur.

Nathalie, Begnins            2016-05-17 00:08:57        

Chère Contessa, quelle tristesse de te savoir partie si tôt....

Golay Jean-Marc, Le Brassus            2016-05-16 20:10:38        

Je partage également toute la peine des collaborateurs de La Côte qui devront continuer d avancer et faire face à cette disparition. Toute ma sympathie envers vous et courage pour la suite.

Golay Jean-Marc, Le Brassus            2016-05-16 20:08:48        

J ai rencontré cette fabuleuse personne en décembre dernier dans le cadre professionnel. Elle dégageait un optimisme, une chaleur humaine et un respect hors norme. Le sort est cruel. Je témoigne toute ma sympathie à ses proches et n oublierais pas cette belle personne...

Tribune de Genève,            2016-05-16 19:56:20        

La rédaction de la "Tribune de Genève" présente ses condoléances à la famille et aux proches de Contessa Pinon; elle assure la rédaction de La Côte de son amitié confraternelle.