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Incontinence urinaire: oser en parler

Les fuites d’urine sont souvent associées à une honte qui empêche de consulter. Et pourtant, la plupart du temps, un traitement est possible.

21 mars 2017, 23:48
/ Màj. le 22 mars 2017 à 00:01
Nyon, mercredi 15 mars 2017, photos prétextes, photos d'illustration, Planète Santé, incontinence, photos Cédric Sandoz

Laetitia Grimaldi

laetitia.grimaldi@planetesante.ch

La crainte de soulever un pack d’eau, d’éternuer ou de rire, la réticence à prendre les transports en commun, l’angoisse de ne pas trouver de toilettes à proximité, l’envie de se tenir à distance des autres par crainte d’être imprégné d’une odeur désagréable: l’incontinence urinaire peut transformer le quotidien en cauchemar et réduire la vie sociale au strict minimum.

Dès lors que le problème survient, une seule démarche à entreprendre: consulter. D’abord parce que l’incontinence urinaire, une fois présente, ne disparaît généralement pas d’elle-même, ensuite parce qu’elle peut être le résultat d’une multitude de causes que seul un spécialiste pourra déceler. «La phase de diagnostic est cruciale et ne doit pas être faite à la va-vite», alerte le Dr Julien Renard, urologue aux Hôpitaux universitaires de Genève et à l’Ente ospedaliero cantonale du Tessin. Le risque est de partir sur une mauvaise piste, d’aggraver le problème ou,...

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