benoît perrier
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Le soleil darde ses rayons, le palpitant s’emballe et le repos rend disponible. En vacances, grasses matinées hédonistes et siestes crapuleuses se multiplient. Ou pas. «Pour certains couples, c’est un moment pour constater que le désir est vivant. Pour d’autres, qu’il n’est plus là du tout», observe Francesco Bianchi-Demicheli, médecin spécialiste en sexologie aux Hôpitaux universitaires de Genève.
Sans aller jusqu’à une telle extinction, il est clair qu’il n’est pas facile pour un couple de s’accorder sur le plan du désir et de sa fréquence. Avec le temps, des fluctuations sont normales. Mais il ne faut pas baisser les bras! Par définition, le désir sexuel varie. Et souvent de manière marquée. Il peut être plus ou moins important et fréquent selon les individus, osciller au cours de la vie.
Désir réactif et spontané
Les sexologues observent aussi des différences entre hommes et femmes… qui ne vérifient pas...