benoît perrier
benoit.perrier@planetesante.ch
Le soleil darde ses rayons, le palpitant s’emballe et le repos rend disponible. En vacances, grasses matinées hédonistes et siestes crapuleuses se multiplient. Ou pas. «Pour certains couples, c’est un moment pour constater que le désir est vivant. Pour d’autres, qu’il n’est plus là du tout», observe Francesco Bianchi-Demicheli, médecin spécialiste en sexologie aux Hôpitaux universitaires de Genève.
Sans aller jusqu’à une telle extinction, il est clair qu’il n’est pas facile pour un couple de s’accorder sur le plan du désir et de sa fréquence. Avec le ...