Après un rapide conciliabule, les joueurs reviennent aux positions qui leur sont assignées. «3,2,1…» Tout le monde se synchronise avant qu’une salve de tirs ne s’abatte dans la foulée sur l’équipe adverse.
Bienvenue dans un match de dodgeball, une version avancée de la balle aux prisonniers, ou balle à deux camps, dont la première journée des championnats suisses se déroulait ce week-end, à Gimel.
Coordination collective
Contrairement à la belle époque de l’école o...