«On peut se préparer tactiquement sur leurs systèmes et leurs joueurs mais il faut aussi qu’on mette notre implication, notre envie, notre motivation au moment du match… Il faut qu’on arrive à commencer directement à fond et là, je ne sais pas trop ce qu’il s’est passé. Après, on panique, on force des shoots, on se perd et à la mi-temps on est déjà loin derrière.» En quelques phrases, William Van Rooij, résumait parfaitement les vingt premières minutes de son équipe.
Extrêmement lucide, le capitaine nyonnais savait parfaitement où ses coéquipiers et lui...