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Brésil 2014: le carnet de voyage de Lianel Gay, supporter de la Nati

Lianel Gay, un Valaisan de 31 ans, va passer au minimum trois semaines au Brésil, sur les pas de l'équipe suisse de football. Nous relayerons régulièrement les impressions de ce fan absolu de la Nati. L'épisode du jour: Lianel à Salvador.

20 juin 2014, 09:33
A défaut de pouvoir toucher la vraie, Lianel se contente d'une miniature de la Coupe du monde.

On avait quitté Lianel Gay, notre Valaisan voyageur supporter, dans les rues de Brasilia, tout à sa joie communicative après la victoire inespérée des Suisses face à l'Equateur. Il s'apprêtait à quitter la capitale et à s'envoler pour Salvador, sur la côte est du Brésil, où la Nati doit affronter la France ce vendredi soir.

Notre reporter improvisé a tout de même profité de sa présence à Brasilia pour visiter quelques monuments d'une ville qui ne lui laissera pas un souvenir impérissable.

Mais, aller à Brasilia sans visiter la fameuse cathédrale Métropolitaine Notre-Dame de l'Appartition, aurait été un sacrilège. Une architecture ultra-moderne signée Oscar Niemeyer.

 

Mais Lianel Gay n'est pas là que pour faire du tourisme. Sa priorité, ça reste la Nati. Direction donc Salvador. "Le voyage en avion s'est fait avec pratiquement 70% de Suisses à bord. Une Brésilienne assise à côté de moi se sentait un peu... étrangère."

Arrivé à Salvador, notre fan a tout de suite senti une différence avec Brasilia. "On a vraiment basculé dans une ambiance de Coupe du monde, en particulier dans la vieille ville de Pelourinho."

 

Si Salvador est totalement dans l'ambiance du "Mundial", les supporters suisses ont tout de même ressenti davantage d'insécurité qu'à Brasilia. "Il y a une grosse présence policière, mais je n'ai pas vu de manifestation contre le Mondial depuis que je suis arrivé", assure Lianel.

Mais Salvador, au-delà de son coeur historique, c'est aussi et surtout pour les supporters venus entre autres choses ici pour faire la fête, de très belles plages ou la caïpirinha coule à flots.

 

Seul jusqu'ici, le Valaisan a rejoint à Salvador un ami de la région de Martigny. "On a assisté ensemble au match Brésil-Mexique avec un groupe de locaux, dans la rue, amassés devant une télévision. Ambiance garantie. Les Brésiliens sont vraiment des gens accueillants."

Et avec le son, l'hymne brésilien d'avant-match, c'est encore mieux:

Oubliant le temps d'un mois tous ses problèmes ou presque, le Brésil tout entier est persuadé qu'il va remporter sa Coupe du monde.

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