Il n’y a pas eu de miracle ni de surprise à la Perrausaz. La hiérarchie établie a été tout simplement respectée lors de ces 16es de finale. BRP n’avait en fait pas les armes pour rivaliser avec un adversaire pourtant en pleine crise, sans confiance et au moral dans les chaussettes.
Champagne, guère pétillant ces derniers temps, n’aura tremblé que cinq petites minutes. Mais le portier Kennedy rassurait les siens en effectuant deux arrêts successifs déterminants dans son duel avec Constantin (4e). Ce sérieux avertissement sera la seule opportunité d’un BRP rapidement en difficulté.
Les visiteurs, réactifs, allaient de suite donner le tournis à une arrière-garde en souffrance. Le système avec une défense à trois, mis en place par Nedzat Sasiku, a explosé et tourné à la confusion. À la 7e minute déjà, Kühne, idéalement servi, surprenait Perez au premier poteau.
Meilleur dans tous les domaines, le pensionnaire de 2e...