gilbert leremois
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Dans la saison d’un entraîneur, et idéalement le plus tôt possible, il est coutume de chercher «le» match référence. Celui où tout se passe bien. Celui où tout fonctionne, où les schémas de l’entraînement se concrétisent sur le terrain, où l’adversaire n’est qu’un sparring-partner. Pour Gingins et sa paire de coaches, c’est assurément ce qui s’est produit face à Chêne-Aubonne. Ou plus exactement durant la première mi-temps: «On connaît nos joueurs, on savait bien à la mi-temps que ça ne serait pas nécessairement terminé», clamaient en chœur Jacquot et Gabrielsso...