dominique montangero
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Mais que serait-il advenu de ce huitième de finale de la Coupe de Suisse si le Stade ne s’était pas confectionné deux buts? Deux gros cadeaux qui, après moins de dix minutes, brisaient le rêve et douchaient tous les epoirs nyonnais. Et qui surtout, réduisaient à néant tous les plans que pouvaient avoir concoctés Oscar Londono, le coach du Stade, et son staff.
Alors que les hôtes venaient, pourtant, de réaliser cinq premières minutes prometteuses, une passe latérale hasardeuse de Chentouf profitait à Kablan. En une passe, le Bernois perforait la défense des «jaune et noir» et trouvait Tosetti qui crucifiait Mutombo (7e). Une poignée de secondes plus tard, une intervention manquée de Tall ouvrait le chemin du but à Ferreira qui doublait la mise (8e).
Malgré cette entrée en matière cauchemardesque, les Nyonnais revenaient dans la partie. Et plutôt bien. Mettant en lumière les lacunes criardes...